Grasshoppers Three
Grasshoppers Three
Trois sauterelles
Chanson enfantine
Chanson enfantine
(Anglais)
(Français)
Grasshoppers three a-fiddling went
Hey Ho! Never be still.
They paid no money toward their rent,
But all day long with elbows bent.
They fiddled a tune called rillaby, rillaby,
Fiddled a tune called rillaby rill.
Trois sauterelles allaient violonant
Hé ho ! Jamais tranquilles.
Elles ne payaient jamais leur loyer
Mais toute la journée, les coudes pliés,
Elles violonaient un air appelé rillaby, rillaby,
Violonaient un air appelé rillaby-rill.
Notes
La chanson ci-dessus a été empruntée au poème de Sir Henry Newbolt (1862-1938) et la strophe a subi la modification populaire comme il arrive la plupart du temps.
Grasshoppers four a-fiddling went,
Heigh-ho! never be still!
They earned but little towards their rent
But all day long with their elbows bent
They fiddled a tune called Rilloby-rilloby,
Fiddled a tune called Rilloby-rill.
Grasshoppers soon on Fairies came,
Heigh-ho! never be still!
Fairies asked with a manner of blame,
"Where do you come from, what is your name?
What do you want with your Rilloby-rilloby,
What do you want with your Rilloby-rill?"
"Madam, you see before you stand,
Heigh-ho! never be still!
The Old Original Favourite Grand
Grasshopper's Green Herbarian Band,
And the tune we play is Rilloby-rilloby,
Madam, the tune is Rilloby-rill."
Fairies hadn't a word to say,
Heigh-ho! never be still!
Fairies seldom are sweet by day,
But the Grasshoppers merrily fiddled away,
O but they played with a willoby-rilloby,
O but they played with a willoby-will!
Fairies slumber and sulk at noon,
Heigh-ho! never be still!
But at last the kind old motherly moon
Brought them dew in a silver spoon,
And they turned to ask for Rilloby-rilloby,
One more round of Rilloby-rill.
Ah! but nobody now replied,
Heigh-ho! never be still!
When day went down the music died,
Grasshoppers four lay side by side,
And there was an end of their Rilloby-rilloby,
There was an end of their Rilloby-rill.
Traduction française :
Quatre sauterelles allaient violonant,
Eh oh ! Jamais tranquilles !
Elles donnaient peu pour leur loyer,
Mais toute la journée, les coudes pliés,
Elles violonaient un air appelé Ruisseau-ci, Ruisseau-ci
Violonaient un air appelé Ruisseau agile.
Les sauterelles rencontrèrent bientôt les fées,
Eh oh ! Jamais tranquilles !
Les fées demandèrent d'un air réprobateur
"Quel est votre nom et d'où venez-vous à cette heure ?
Que voulez-vous avec votre Ruisseau-ci, Ruisseau-ci,
Que voulez-vous avec votre Ruisseau agile ?
-Madame, vous voyez là devant vous,
Eh oh ! Jamais tranquilles !
Le Vénérable Original Préféré et Grand
Ensemble Vert des Sauterelles des Champs,
Et l'air que nous jouons est Ruisseau-ci, Ruisseau-ci,
Madame, l'air est Ruisseau agile."
Les fées ne dirent pas un mot,
Eh oh ! Jamais tranquilles !
Les fées ne sont pas gentilles le jour, généralement,
Mais les Sauterelles partirent en violonant gaiment,
Oh, mais elles jouaient avec un gré-ci-ruisseau-ci,
Oh, mais elles jouaient avec un gré-ci-bon-gré-fébrile !.
Les fées dorment et boudent à midi,
Eh oh ! Jamais tranquilles !
Mais enfin, la vieille et gentille lune, maternellement,
Leur apporta de la rosée dans une cuillère d'argent,
Et elles se retournèrent pour demander un Ruisseau-ci, Ruisseau-ci,
Encore une tournée de Ruisseau agile.
Ah ! Mais personne ne répondit,
Eh oh ! Jamais tranquilles !
Quand le jour déclina, la musique expira,
Quatre sauterelles côte à côte étaient couchées là,
Et ce fut la fin de leur Ruisseau-ci, Ruisseau-ci,
Ce fut la fin de leur Ruisseau agile.
"rilloby" est basé sur "rill", petit ruisseau, et "willoby" est basé sur "will", volonté, gré.
Remerciements
Merci beaucoup à Monique Palomares pour l'illustration.