Oh My Darling, Clementine
Oh My Darling, Clementine
Oh ma Clémentine, chérie
Chanson traditionnelle
Chanson traditionnelle
(Anglais)
(Français)
In a cavern, in a canyon
Excavating for a mine
Lived a miner forty-niner*
And his daughter, Clementine.
Oh, my darling, oh, my darling
Oh, my darling Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine.
Light she was and like a fairy
And her shoes were number nine
Herring boxes without topses
Sandals were for Clementine.
Oh, my darling, oh, my darling
Oh, my darling Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine.
Drove she ducklings to the water
Every morning just at nine
Hit her foot against a splinter
Fell into the foaming brine.
Oh, my darling, oh, my darling
Oh, my darling Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine.
Ruby lips above the water
Blowing bubbles soft and fine
But, alas, I was no swimmer,
So I lost my Clementine.
Oh, my darling, oh, my darling
Oh, my darling Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine.
In a churchyard near the canyon
Where the myrtle doth entwine
There grow roses and the posies
Fertilized by Clementine.
Oh, my darling, oh, my darling
Oh, my darling Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine.
Then the miner, forty-niner
Soon began to peak and pine
Thought he oughter join his daughter
Now he's with his Clementine.
Oh, my darling, oh, my darling
Oh, my darling Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine.
In my dreams she still doth haunt me
Robed in garments soaked in brine
Though in life I used to hug her
Now she's dead, I'll draw the line.
Oh, my darling, oh, my darling
Oh, my darling Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine.
How I missed her, how I missed her
How I missed my Clementine
Till I kissed her little sister
And forgot my Clementine.
Oh, my darling, oh, my darling
Oh, my darling Clementine
You are lost and gone forever
Dreadful sorry, Clementine.
Dans une caverne, dans un canyon
Creusant une galerie
Vivait un mineur de quarante-neuf*
Et sa fille Clémentine.
Oh, ma chérie, oh ma chérie,
Oh, ma Clémentine chérie.
Tu es perdue et partie à jamais.
Je suis terriblement désolée, Clémentine.
Elle était légère et comme une fée
Et elle chaussait du quarante-trois
Des boîtes de harengs sans couvercle
Étaient les sandales de Clémentine.
Oh, ma chérie, oh ma chérie,
Oh, ma Clémentine chérie.
Tu es perdue et partie à jamais.
Je suis terriblement désolée, Clémentine.
Elle conduisait les canetons à l'eau
Tous les matins à neuf heures
Elle se cogna le pied contre un bout de bois
Et tomba dans la saumure écumante
Oh, ma chérie, oh ma chérie,
Oh, ma Clémentine chérie.
Tu es perdue et partie à jamais.
Je suis terriblement désolée, Clémentine.
Ses lèvres de rubis au-dessus de l'eau
Faisaient de jolies bulles délicates,
Mais hélas, je ne savais pas nager
Aussi je perdis ma Clémentine.
Oh, ma chérie, oh ma chérie,
Oh, ma Clémentine chérie.
Tu es perdue et partie à jamais.
Je suis terriblement désolée, Clémentine.
Dans le cimetière, près du canyon,
Où le myrte s'entrelace
Là poussent des roses et des bouquets
Fertilisés par Clémentine.
Oh, ma chérie, oh ma chérie,
Oh, ma Clémentine chérie.
Tu es perdue et partie à jamais.
Je suis terriblement désolée, Clémentine.
Puis le mineur de quarante-neuf
Commença bientôt à avoir des hauts et des bas
Il pensa qu'il devrait rejoindre sa fille
Maintenant il est avec Clémentine.
Oh, ma chérie, oh ma chérie,
Oh, ma Clémentine chérie.
Tu es perdue et partie à jamais.
Je suis terriblement désolée, Clémentine.
Dans mes rêves, elle me hante encore
Vêtue d'habits trempés d'eau salée
Quand elle vivait, je la serrais dans mes bras
Maintenant qu'elle est morte, c'est terminé.
Oh, ma chérie, oh ma chérie,
Oh, ma Clémentine chérie.
Tu es perdue et partie à jamais.
Je suis terriblement désolée, Clémentine.
Comme elle me manqua, comme elle me manqua
Comme ma Clémentine me manqua,
Jusqu'à ce que j'embrasse sa petite sœur
Et que j'oublie ma Clémentine.
Oh, ma chérie, oh ma chérie,
Oh, ma Clémentine chérie.
Tu es perdue et partie à jamais.
Je suis terriblement désolée, Clémentine.
Notes
On pense que "Clementine" a été écrit par Percy Montrose vers 1883.
* de la ruée vers l'or de 1849.