There Was a Jolly Miller Once
Cette chanson "The Miller of the Dee" est extraite de l'opéra-comique Love in a Village de Isaac Bickerstaffe (1762). D'autres couplets ont été ajoutés dans le processus de passage à une chanson traditionnelle.
There Was a Jolly Miller Once
Il était une fois un gai meunier
Chanson enfantine
Chanson enfantine
(Anglais)
(Français)
There was a jolly miller once
Lived on the river Dee;
He worked and sang from morn till night,
No lark more blithe than he.
And this the burden of his song
For ever used to be,
"I care for nobody, no, not I,
And nobody cares for me."*
Il était une fois un gai meunier,
Qui vivait sur la Dee,
Toujours en travaillant chantait,
Pas d'alouette plus gaie que lui.
Et le refrain de sa chanson
Était toujours le même :
"Moi je n'aime personne, oh non,
Et personne ne m'aime."
Notes
*Certaines versions ont cette partie sous la forme de "I care for nobody, no, not I,
If nobody cares for me." (Je n'aime personne, non, pas moi, Si personne ne m'aime.
Une autre version issue de The Nursery Rhyme Book, édité par Andrew Lang et illustré par L. Leslie Brooke (1897) fait :
THERE was a jolly miller
Lived on the river Dee:
He worked and sung from morn till night,
No lark so blithe as he;
And this the burden of his song
For ever used to be-
I jump mejerrime jee! (Je sauté, mejerrime jee!)
I care for nobody - no! not I,
Since nobody cares for me. (Puisque personne ne m'aime)
Commentaires
On peut chanter la traduction.
"Je sais qu'une version française en a été faite, je l'ai apprise au début des années 70, mais le petit cahier où elle était consignée est un jour parti à la poubelle. Si quelqu'un l'a, merci de m'écrire mais elle est peut-être soumise aux droits d'auteur !" -Tatie Monique
Partition
Remerciements
L'illustration, la partition et l'air proviennent de The Baby's Opera de Walter Crane (1877).