Ding Dong Bell
Les traductions plus littérales se trouvent dans les notes.
Ding Dong Bell
Ding, dong, c'est minuit
Comptine
Comptine
(Anglais)
(Français)
Ding Dong Bell,
Pussy's in the well.
Who put her in?
Little Tommy Lin.
Who pulled her out?
Little Tommy Trout.
What a naughty boy was that,
To drown poor little Pussy cat,
Who never did him any harm,
But killed the mice in his father's barn.
Ding, dong, c'est minuit,
Minou est dans le puits.
Qui le lui a mis ?
Le petit Tommy Mi.
Qui l'en a sorti ?
Le petit Tommy Ti.
Quel méchant garçon c'était là
De noyer ce pauvre petit chat
Qui ne lui avait jamais fait de mal
Mais tuait les souris dans la grange de son papa.
Notes
La traduction n'est pas totalement littérale.
Ce qui suit est une variation de cette comptine issue de A History of Nursery Rhymes (1899) de Percy B. Green. Remarquer le jeu de mots sur les noms...
Ding dong bell, pussy's in the well.
Who put her in? Little Tommy Thin.
Who pulled her out? Little Johnny Stout.
What a naughty boy was that
To drown poor pussy cat!"
Traduction française littérale
Ding dong la cloche, minou est dans le puits.
Qui le lui a mis ? Le petit Tommy Mince.
Qui l'en a sorti ? Le petit Johnny Costaud.
Quel vilain garçon c'était là
De noyer ce pauvre petit chat !
Ou :
What a naughty trick was that to drown my granny's pussy cat,
Who never did any harm, but caught the mice in father's barn.
Traduction française
Quel vilain tour c'était de noyer le chaton de mamie,
Qui n'avait jamais fait de mal, mais attrapait les souris dans la grange de papa.
Voici une version de The Nursery Rhyme Book, édité par Andrew Lang et illustré par L. Leslie Brooke (1897):
DING, dong, bell,
Pussy's in the well!
Who put her in?
Little Tommy Lin.
Who pulled her out?
Dog with long snout.
What a naughty boy was that
To drown poor pussy-cat,
Who never did any harm,
But kill'd the mice in his father's barn.
Traduction française
Ding, dong, la cloche,
Minou est dans le puits !
Qui le lui a mis ?
Le petit Tommy Lin.
Qui l'en a sorti ?
Le chien au long museau.
Quel vilain garçon c'était là
De noyer ce pauvre petit chat
Qui n'avait jamais fait de mal
Mais tuait les souris dans la grange de son papa.
Ci-dessous se trouve la version de The Little Mother Goose (1912), illustré par Jessie Willcox Smith. Cette version a une morale à la fin :
Ding, dong, bell,
The cat is in the well!
Who put her in?
Little Johnny Green;
What a naughty boy was that
To try to drown poor pussy cat,
Who never did any harm,
And killed the mice in his father's barn.
MORAL:
He that injures one threatens a hundred.
Traduction française
Ding, dong, la cloche,
Le chat est dans le puits!
Qui le lui a mis ?
Le petit Johnny Green (Vert).
Quel vilain garçon c'était là
D'essayer de noyer le pauvre petit chat
Qui n'avait jamais fait de mal,
Et tuait les souris de la grange de son père
MORALE :
Qui en blesse un en menace cent.
Voici la version de Young Canada's Nursery Rhymes:
Ding, dong, bell; Pussy's in the well.
Who put her in? Little Tommy Green.
Who pulled her out? Little Tommy Trout.
What a naughty boy was that,
To drown poor Pussy Cat.
Traduction française
Ding, dong, la cloche; Minou est dans le puits.
Qui le lui a mis ? Le petit Tommy Green (Vert)
Qui l'en a sorti ? Le petit Tommy Trout (Truite).
Quel vilain garçon c'était là
De noyer le pauvre petit chat.
MP3 interprété par 17 talentueuses étudiantes en musique au niveau universitaire qui étaient sœurs dans le Sigma Alpha Iota International Music Fraternity for Women à la State University-Stanislaus de Californie en 2007. La partition musicale qui a servi de base à l'enregistrement provient de Our Old Nursery Rhymes (1911) sélectionnés par Alfred Moffat.
Partition
Remerciements
La première illustration provient de The National Nursery Book. On peut trouver la première version de la comptine dans The Real Mother Goose (1916), illustré par Blanche Fisher Wright. La deuxième illustration est de The Little Mother Goose (1912), illustré par Jessie Willcox Smith. La troisième illustration est de H. Willebeck Le Mair dans Our Old Nursery Rhymes (1911), arrangé par Alfred Moffat.