Robert Barnes, Fellow Fine
D'après Northall, l'auteur de "English Folk-Rhymes" (1892), quand on récite cette comptine : "On tape généralement sous les pieds des enfants pour imiter le ferrage du cheval."
La traduction n'est pas littérale, vous trouverez celle-ci dans la dernière partie des notes.
Robert Barnes, Fellow Fine
Robert Barnes, mon bon ami
Comptine
Comptine
(Anglais)
(Français)
"Robert Barnes, fellow fine,
Can you shoe this horse of mine?"
"Yes, good sir, that I can,
As well as any other man:
There's a nail, and there's a prod,
And now, good sir, your horse is shod*."
"Robert Barnes, mon bon ami,
Pouvez-vous ferrer mon cheval que voici ?
– Je peux, mon bon monsieur, oui,
Tout comme n'importe qui :
Voici un clou, le marteau est tombé,
Et voilà, mon bon monsieur, votre cheval est ferré."
Notes
* Participe passé irrégulier du verbe "to shoe" (ferrer) en anglais.
La première ligne dans The Real Mother Goose (1916) fait ""Robert Barnes, my fellow fine..." (mon brave homme, mon bon ami)
Voici une version légèrement différente issue de The Little Mother Goose (1912), illustré par Jessie Willcox Smith:
"Robert Barnes, fellow fine,
Can you shoe this horse of mine?"
"Yes, good sir, that I can,
As well as any other man:
Here a nail, and there a prod,
And now, good sir, your horse is shod."
La traduction est la même que ci-dessus mais voici la traduction littérale, la différence entre les deux versions se situant à l'avant-dernière ligne :
"Robert Barnes, brave homme/ mon bon ami,
Pouvez-vous ferrer mon cheval ?
– Oui, mon bon monsieur, je peux
Aussi bien que n'importe qui.
Voici un clou et voilà un petit coup (une poussée),
Et maintenant, mon bon monsieur, votre cheval est ferré."
Remerciements
On peut trouver cette comptine dans The Nursery Rhyme Book, édité par Andrew Lang et illustré par L. Leslie Brooke (1897). On peut trouver cette comptine et cette illustration dans The Real Mother Goose (1916), illustré par Blanche Fisher Wright.