Hacia Belén va una burra
Hacia Belén va una burra
Une ânesse va vers Bethléem
Canción de Navidad
Chanson de Noël
(Espagnol)
(Français)
Hacia Belén va una burra, rin rin
Yo me remendaba, yo me remendé
Yo me eché un remiendo yo me lo quité
Cargada de chocolate.
Lleva su chocolatero*, rin rin
Yo me remendaba yo me remendé
Yo me eché un remiendo yo me lo quité
Su molinillo y su anafe.
Mariá Mariá ven acá corriendó
Que el chocolatilló se lo está comiendó
Mariá Mariá ven acá volandó
Que el chocolatilló se lo está llevandó.
Une ânesse va vers Bethléem, rin, rin
Je me rapiéçais, je me suis rapiécé,
Je me suis mis une pièce et je l'ai enlevée,
Chargée de chocolat.
Elle porte son pot de chocolat, rin, rin
Je me rapiéçais, je me suis rapiécé,
Je me suis mis une pièce et je l'ai enlevée,
Son fouet** et son réchaud.
Marie, Marie, viens ici en courant,
Car elle mange le chocolat,
Marie, Marie, viens ici en volant,
Car elle emporte le chocolat.
Notes
*La plupart des versions le donnent comme "su chocolatera". Le dictionnaire officiel espagnol donne le mot masculin comme typique d'Andalousie.
** un fouet mexicain en bois pour fouetter le chocolat chaud.
Quelques mots du refrain sont accentués différemment de la normale, aussi portent-ils des accents écrits pour refléter cette prononciation. Voici le refrain écrit normalement :
María, María ven acá corriendo
Que el chocolatillo se lo está comiendo
María, María ven acá volando
Que el chocolatillo se lo está llevando
Commentaires
Couplets supplémentaires
En el Portal de Belén,rin, rin.
Yo me remendaba, yo me remendé,
Yo me eché un remiendo, yo me lo quité.
Han entrado los ratones,
Y al bueno de San José, rin, rin.
Yo me remendaba, yo me remendé,
Yo me eché un remiendo, yo me lo quité.
Le han roído los calzones.
Mariá Mariá ven acá corriendó
que los calzoncillós, los están royendó
Mariá Mariá ven acá volandó
que los calzoncillós, los están royendó.
En el portal de Belén, rin, rin.
Yo me remendaba, yo me remendé,
Yo me eché un remiendo, yo me lo quité.
Ladroncillos han entrado,
Y al Niño que está en la cuna rin, rin.
Yo me remendaba, yo me remendé,
Yo me eché un remiendo, yo me lo quité.
Los pañales le han robado.
Mariá Mariá ven acá corriendó
Que los pañalillós, los están llevandó
Mariá Mariá ven acá volandó
Que los pañalillós, los están llevandó.
Con un sombrero de paja, rin, rin,
Yo me remendaba, yo me remendé,
Yo me eché un remiendo, yo me lo quité,
Al portal llega un gallego. (1)
Mientras adoraba al Niño, rin, rin,
Yo me remendaba, yo me remendé,
Yo me hice un remiendo, yo me lo quité,
El buey se comió el sombrero.
Mariá, Mariá, ven acá corriendó,
Que el sombrero el buey se lo está comiendó.
Mariá, Mariá, ven acá volando,
Consuela al gallegó que está aquí llorandó. (2)
Autre version:
(1) "Hacia Belén va un viajero" (Vers Bethléem va un voyageur)
(2) La 4ème ligne comme la 2ème.
Traduction
Dans la crèche de Bethléem, rin, rin.
Je me rapiéçais, je me suis rapiécé,
Je me suis mis une pièce et je l'ai enlevée,
Les souris sont entrées,
Et au bon Saint Joseph, rin, rin.
Je me rapiéçais, je me suis rapiécé,
Je me suis mis une pièce et je l'ai enlevée,
Les caleçons elles ont rongés.
Marie, Marie, viens ici en courant,
Car elles rongent les caleçons
Marie, Marie, viens ici en volant,
Car elles rongent les caleçons.
Dans la crèche de Bethléem, rin, rin.
Je me rapiéçais, je me suis rapiécé,
Je me suis mis une pièce et je l'ai enlevée,
Des petits voleurs sont entrés,
Et à l'Enfant dans le berceau, rin, rin.
Je me rapiéçais, je me suis rapiécé,
Je me suis mis une pièce et je l'ai enlevée,
Les langes ils ont volés.
Marie, Marie, viens ici en courant
Car ils emportent les langes,
Marie, Marie, viens ici en volant,
Car ils emportent les langes.
Avec son chapeau de paille, rin, rin.
Je me rapiéçais, je me suis rapiécé,
Je me suis mis une pièce et je l'ai enlevée,
À la crèche arrive un Galicien,
Pendant qu'il adorait l'Enfant, rin, rin.
Je me rapiéçais, je me suis rapiécé,
Je me suis mis une pièce et je l'ai enlevée,
Le bœuf lui a mangé le chapeau.
Marie, Marie, viens ici en courant
Car le bœuf mange le chapeau,
Marie, Marie, viens ici en volant,
Console le Galicien qui pleure ici.
Merci beaucoup à Francisco Javier Fontalva Chica pour cette chanson et pour l'avoir chantée pour nous !