Ana Latu
"Il n'y a pas beaucoup de berceuses pour enfants en langue tongienne. Ceci est probablement dû avec la vieille attitude traditionnelle qui veut que les enfants devraient être vus mais pas entendus. 'Ana Latu' est la plus proche à laquelle j'ai pu penser, qui est une berceuse bien connue qu'un tas de mères chantent à leurs enfants. Mais si vous écoutez attentivement les paroles, cette chanson est en réalité une lamentation à propos d'Ana qui a quitté ce monde." -Let's Learn Tongan (en anglais)
Ana Latu
Ana Latu
Berceuse
Berceuse
(Tongien)
(Français)
He 'oiaue Ana Latu
Ana tauele kiate 'au
si'e ma fononga he 'one'one
he na'a ma topu va'e taha pe.
He 'oiaue Ana Latu
Ana tauele kiate 'au
si'e ma fononga he 'one'one
he na'a ma topu va'e taha pe.
Si kau tangata moe kau fefine
mou ma tuku 'atu 'o mohe
kae tuku keu 'au fia pe
he ko ho ma faka'osi po e.
Si kau tangata moe kau fefine
mou ma tuku atu 'o mohe
kae tuku keu 'au fia pe
he ko ho ma faka'osi po e.
He 'oiaue Ana Latu
Ana tauele kiate 'au
si'e ma fononga he 'one'one
he na'a ma topu va'e taha pe.
He 'oiaue Ana Latu
Ana tauele kiate au
si'e ma fononga he 'one'one
he na'a ma topu va'e taha pe.
He 'oiaue Ana Latu
Ana tauele kiate au
si'e ma fononga he 'one'one
he na'a ma topu va'e taha pe.
Oh, ma chère Ana Latu
Ana, tu m'es précieuse,
Oh, comme nous marchions dans le sable,
Comme l'empreinte de nos pas n'en devenait qu'une.
Oh, ma chère Ana Latu
Ana, tu m'es précieuse,
Oh, comme nous marchions dans le sable,
Comme l'empreinte de nos pas n'en devenait qu'une.
Oh, mes compatriotes hommes et femmes,
Vous pouvez partir et aller dormir,
Je ne peux pas dormir, car
Ce sera notre dernière nuit ensemble.
Oh, mes compatriotes hommes et femmes,
Vous pouvez partir et aller dormir,
Je ne peux pas dormir, car
Ce sera notre dernière nuit ensemble.
Oh, ma chère Ana Latu
Ana, tu m'es précieuse,
Oh, comme nous marchions dans le sable,
Comme l'empreinte de nos pas n'en devenait qu'une.
Oh, ma chère Ana Latu
Ana, tu m'es précieuse,
Oh, comme nous marchions dans le sable,
Comme l'empreinte de nos pas n'en devenait qu'une.
Oh, ma chère Ana Latu
Ana, tu m'es précieuse,
Oh, comme nous marchions dans le sable,
Comme l'empreinte de nos pas n'en devenait qu'une.
Notes
"Ana Latu" date des années 1850 ou avant.