C'est à Lauterbach
Cette version est apparue dans un recueil de chansons scolaires de 1926 en Alsace.
La chanson est originaire du Tyrol et date de 1827. Il y différentes versions de cette chanson dans différentes régions allemandes.
C'est à Lauterbach
Chanson traditionnelle
C'est à Lauterbach où l'on danse sans cesse
Qu'il faut le dimanche nous voir,
La valse nous pousse, la flûte nous presse
Voyez passer les rubans noirs
C'est à Lauterbach où l'on danse sans cesse
Que mon fin soulier s'est perdu
Allons, savetier, puisqu'il faut que je rentre
Bien vite qu'il me soit rendu.
C'est à Lauterbach où l'on danse sans cesse
Que j'ai perdu mon jeune cœur
J'y veux retourner, mais en bell' mariée
Je montrerai qui a mon cœur.
Notes
L'auteur-compositeur américain Septimus Winner a écrit une chanson base sur cet air en 1864 avec un nouveau texte intitulé Where oh where has my little dog gone qui est devenue une chanson enfantine populaire nord-américaine.
Remerciements
Contribution : Tatie Monique
Image : Détail de Les costumes traditionnels d'Alsace, lot de reproductions d'aquarelles de P.KAUFFMANN (1877-1937), publié dans L'ILLUSTRATION 1918-1919, "avec permission spéciale de la Maison Goupil et Cie, Paris".
Merci beaucoup !